Dès la fécondation, alors qu’il ne mesure qu’un dixième de millimètre, l’œuf produit déjà sa première hormone. Elle s'appelle : l’hormone gonadotrophine chorionique (hcg) sans laquelle il ne pourrait pas se maintenir dans l’utérus. L’hcg agit sur le corps jaune (reste du follicule de Graaf dont est issu l’ovule) afin qu’il continue à fabriquer la progestérone.
L’hormone gonadotrophine chorionique (hcg) permet donc à l’œuf de s’implanter et de se développer dans la muqueuse utérine en bloquant le cycle de l’ovaire et en empêchant la venue des règles. La présence de l'hcg dans les urines, décelable à partir du 14ème jour, a en effet permis la mise au point du test de grossesse. C’est cette hormone (hcg) qui nous annonce notre grossesse : Trois petites lettres pour un si grand bonheur.
L'hcg est administré sous forme d’injection, généralement en combinaison avec le clomifène, juste avant la date supposée d’ovulation. L’hormone hcg, combinée au clomifène, stimule la libération de l’ovocyte par le follicule ovarien.
L’hcg ne doit être utilisé qu’en cas de problème au niveau de libération de l’ovocyte.
Le premier changement est arrivé soudainement. Il s’agit de l’absence de règles (aménorrhée) à cause d’une hormone, l'hcg, produit par le trophoblaste, c’est-à-dire par la région de la blastocyste à partir de laquelle va se former le placenta.
L'hcg est le premier message biochimique envoyé par l’embryon à sa maman pour lui demander de l’accueillir. Il va maintenir élevée la production ovarienne de progestérone. C'est une hormone de la grossesse, de façon à empêcher le décalage du cycle menstruel et permettre à l’ovule de trouver sa nourriture à l’intérieur de l’utérus.
L'hcg, sa portion en particulier, est l’hormone que l’on recherche dans le sérum et dans les urines lors du test de grossesse classique. Elle peut aussi servir pour monitorer l’évolution d’une grossesse à risque ou d’une menace d’avortement involontaire au cours des premières semaines.
Ce n’est qu’à partir des années 20, que l’on a pu se tourner vers des données plus scientifiques pour diagnostiquer le début de grossesse, ceci après des milliers d’années basées sur des données empiriques, superstitions et coutumes locales. La vraie révolution eut lieu en 1927 lorsque des chercheurs découvrirent la présence de l’hormone hcg (Human Chorionic Gonadotropin) dans le sang et l’urine des femmes enceintes.
D’autres recherches ont prouvé que l'hcg était produit exclusivement par le tissu placentaire et que, par conséquent, elle était indicative de la grossesse. La commercialisation du premier test de grossesse destiné aux médecins et laboratoires, dans plusieurs pays, a eu lieu en 1961. Il ne restait alors qu’un petit pas à franchir pour passer au test de grossesse qui pourrait être exécuté par la femme elle-même.
C’est dès lors, en 1971, que le premier test de grossesse à domicile a été mis sur le marché. Et depuis, la recherche en la matière a été permanente afin de toujours mieux répondre aux attentes des femmes. Le test a donc évolué au fil des années pour donner naissance à une toute dernière version lancée en avril 2000.
Dès que l’œuf fécondé s’implante dans l’utérus, il sécrète une hormone appelée « hormone gonadotrophine chorionique » (hcg). Cette hormone passe dans le sang et dans tout l’organisme, notamment dans les urines. L’hormone hcg a pour rôle de maintenir le corps jaune en activité afin qu’il sécrète les hormones indispensables à l’évolution de la grossesse.
La présence de l’hormone hcg permet de détecter le début d’une grossesse. En effet, les tests de grossesse sont basés sur une réaction immunologique entre l’hormone hcg élaborée par le trophoblaste (cellules périphériques de l’embryon) et un réactif.
Tandis que les tests de grossesse urinaires à faire chez soi sont vendus en pharmacie ou en grandes surfaces, les tests de grossesse sanguins, eux, sont pratiqués dans un laboratoire d’analyses suite à une prise de sang. Ils ont l’avantage de doser cette hormone et pas seulement de détecter sa présence. Ils sont fiables à 100% quant à la confirmation du début d’une grossesse. Le dosage de cette hormone sera utilisé pour dépister un risque d’anomalie chromosomique.
Après la 8ème ou 9ème semaine de grossesse, l’hormone hcg régresse. Or un taux anormalement élevé de hcg vers la 17ème semaine permet de soupçonner une anomalie chromosomique telle que la trisomie 21. Ce dosage doit être effectué dans un laboratoire d’analyses compétents, à une date précise de la grossesse, entre la 15ème et la 17ème semaine. Il permet seulement d’indiquer un risque suffisant pour proposer une amniocentèse.